Le réchauffement climatique

Article 1

Bon, parlons franchement : on aime tous un bon petit rayon de soleil, un bon mocktail en terrasse et les tongs en février. Mais quand même, avouons que la planète qui sue comme si elle avait fait un marathon un 31 décembre, c’est pas hyper rassurant.

C’est quoi ce délire de température ?

Bon, je vais pas vous faire une leçon digne d’un prof d’histoire, mais il faut quand même ouvrir les yeux. Les chiffres sont clairs : les températures augmentent. Pas comme quand tu allumes le radiateur chez mamie, mais plutôt comme si la Terre avait oublié de mettre du déodorant et que ça commençait à sentir le barbecue planétaire.

Oui, c’est grave. Mais ce n’est pas une raison pour s’enfermer dans la peur ou l’inaction. Parler du réchauffement climatique, c’est aussi se rappeler qu’on a encore le pouvoir d’agir :

Exemple :
• Prendre le vélo (ou tes jambes, elles sont là pour ça)
• Acheter local (le kiwi chilien, il a fait plus de kilomètres que toi en vacances)
• Éteindre les lumières (on n’est pas à Versailles ici, comme dirait ta grand-mère)
• Manger plus végétal, de saison, etc.
• Ne pas faire des douches de 30 minutes (tu vas t’en remettre, t’inquiète)

On clique, on partage, on « s’indigne », puis on retourne à notre quotidien. Comme si le problème était réel, mais pas le nôtre. Les médias jouent un rôle important, mais souvent, ils passent du dramatique au superficiel. Et nous, spectateurs, on finit par zapper. Par fatigue, par peur, ou juste parce que c’est trop.

Pourquoi en rire ?

Parce que si on rit pas un peu, on risque de pleurer en voyant les ours polaires faire du paddle pour rejoindre un bout de banquise. L’humour, c’est comme la crème solaire : ça protège un peu du choc, mais faut pas oublier de passer à l’action quand même.

Alors voilà, cher lecteur. J’espère que je vous ai pas démoralisés, mais si vous tenez à vos étés, vos glaces, vos balades en forêt (pas carbonisée), il est temps d’agir.